Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
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Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
Quel avenir pour le RPI Congénies-Junas-Aujargues ?
Christian CAM, directeur de l’école d’Aujargues, coordonateur du RPI, habitant de Junas
Depuis peu, les municipalités de Congénies, de Junas et d’Aujargues ont engagé un processus de réflexion sur le devenir du RPI. J’emploie le mot « devenir » car il ressort que notre RPI en l’état n’aurait plus d’avenir. Au sein des équipes municipales, des élus souhaitent un processus rapide, aboutissant à un changement dès septembre 2009. Pour ce faire, les mairies doivent se plier au calendrier de l’Education Nationale qui ne peut prononcer de modification du statut des écoles qu’en janvier pour la rentrée suivante. Statuer en janvier signifie donc, pour les municipalités, avoir délibéré en amont et choisi une voie alternative avant le 15 décembre 2008. Dans moins d’un mois.
Les enseignants du RPI, invités par les municipalités à une réunion mercredi 12 novembre, ont unanimement déclaré ne pas être favorables à cette solution, demandant solennellement à ce que l’éventuel changement n’intervienne que pour septembre 2010.
Quelques éléments qui plaident pour ce report de décision.
Constat n° 1 : on ne boucle pas en un mois, de manière sérieuse, un dossier concernant 3 villages, 280 familles, 354 élèves, 17 personnels techniques et 15 enseignants.
Constat n° 2 : j’ai suffisamment de relations avec des élus des trois municipalités pour savoir qu’à ce jour, aucun conseil municipal n’a débattu de ce dossier. Il n’a été inscrit à aucun ordre du jour. La première commune qui va organiser, ce lundi 24-11, une réunion d’élus sur ce thème précis, est Congénies. Pour ma part, de manières informelle ou formelle, j’ai reçu et dois recevoir encore des élus qui souhaitent être informés sur cette question. Peut-on concevoir que ces mêmes élus seraient amenés, dans les 20 jours qui suivent, à prendre une décision, alors qu’ils ne maîtriseront que bien superficiellement les problématiques complexes qui entourent ce RPI ?
Constat n° 3 : Les journaux municipaux de Junas et d’Aujargues viennent d’être distribués dans les boîtes aux lettres. Celui de Congénies est en cours d’impression. Pas un n’aborde ce dossier. Autrement dit, les populations de nos trois villages, les 280 familles d’usagers, ne sont pas même au courant que le débat existe, où l’on découvert au hasard de rencontres. Pas étonnant que circulent de nombreuses rumeurs, folles ou insolites. Est-ce à dire qu’usagers et populations ne seraient informés qu’une fois les décisions prises ?
Constat n° 4 : Bien évidemment, sans même une information, que dire de la concertation ! Nos élus « pressés » se satisferaient donc de trois réunions invitant séparément enseignants, personnels techniques et APE et d’un débat public fixé au 6 décembre pour solde de tout compte ? C’est quelque peu léger.
Constat n° 5 : Ces mêmes élus « pressés » n’ont pas dressé de bilan de ce RPI. S’ils l’ont fait, ils l’ont bien gardé. Seule les obsédants problèmes de transport et leur coût suffisent, semble t-il, à motiver le démontage de l’existant. Dont acte. Au-delà du fait que les enfants, à tous âges, plébiscitent le bus avec la fierté d’un cosmonaute partant, tous les matins, pour la Lune, s’est-on penché sur les avantages, pédagogiques cette fois, que retirent nos élèves de l’organisation actuelle ? Autrement dit, les préoccupations des adultes (coûts budgétaires ou organisation familiale en fonction des horaires de transport) n’auraient-elles pas tendance à prendre le dessus ?
Constat n°6 : Si aucun bilan n’existe, il n’y pas trace non plus d’une étude sur les perspectives. Certes, il y a des scénarii possibles, facilement déclinables. Au-delà de l’évocation de ceux-ci, où est « l’étude d’impact », comme on dirait ailleurs avant que tout projet émergeant ne soit réellement mis en chantier ? Là encore, il est utopiste de croire qu’en un mois, les multiples implications des divers scénarii possibles soient pesés et mesurés, pour l’ensemble des acteurs. Le montage définitif, dans de telles conditions, ne pourrait être que bâclé, par défaut.
Constat n° 7 : Bâclé, car non ambitieux, tout d’abord. Evidemment, dans tous les cas de figure, Congénies ferait désormais cavalier seul. Mais avec combien d’écoles ? Une école maternelle et une école élémentaire ou une école dite « primaire » (mêlant petits et grands) ? Dans la première hypothèse – défendue par les enseignants, si tant est qu’il soit encore à démontrer les menaces qui planent sur la maternelle en ce moment – il faudra se battre, tous. Dans la seconde, il suffit de suivre l’air du temps, au détriment des enfants, particulièrement les plus jeunes, et des conditions d’enseignement, notamment en termes d’encadrement. En fait, céder au plus facile, désavouant du même coup les parents qui se sont mobilisés en 2007 contre le « mélange forcé » des petits et des grands sur l’école de Junas… Qui peut sérieusement envisager construire le rapport de force nécessaire et la volonté politique (à construire aussi !) en… un mois ?
La question vaut aussi pour Junas et Aujargues. Gagnerions-nous d’emblée le fait qu’un des sites, en cas de nouveau RPI entre ces deux communes, soit une école maternelle déclarée (ce qui empêcherait, par exemple, qu’en cas de grosse cohorte de CP, certains d’entre eux puissent « rester » sur le site des maternelles). Rien n’est moins sûr. L’air du temps.
Constat n° 8: Bâclé, car précipité, ensuite. On semble évacuer bien légèrement les questions matérielles : aménagement des locaux et des sanitaires, déménagements de mobilier et de matériel pédagogique. Croit-on sérieusement que les enseignants, engagés dans la présente année scolaire avec les différents projets qu’ils ont envisagés, pourraient, dans le même temps préparer la nouvelle donne pour l’an prochain ? Les mairies, ou la CCPS, sont elles disposées à nous rémunérer sur un mois de vacances pour que nous fassions ces déménagements ? Boutade, bien évidemment, qui soulève quand même le fait qu’un remaniement, pour être bien mené, nécessite du temps.
C’est en rebondissant sur cette dernière phrase que j’entame la conclusion, sous forme d’interrogation : pourquoi cette précipitation ? Cette question fut posée lors de notre réunion avec les mairies, mais n’a pas reçu de réponse précise. Nous avons dit aussi qu’il n’est écrit nulle part que les enseignants sont hostiles à un remaniement. Mais, si le processus de réflexion s’engage, tout, du négatif au positif, doit être mis sur la table. Nous avons en outre la faiblesse de croire que les usagers doivent aussi connaître les tenants et les aboutissants, pour, in fine, décider en conscience de ce qu’ils croient judicieux de faire. En écrivant ces mots, j’ai bien conscience de marcher sur des plates bandes qui ne sont pas de mon ressort : fonctionnaire d’Etat, je suis « mis à disposition » pour accomplir un travail. Parler de politique micro-locale et, quelque part, de démocratie, c’est effectivement être « hors sujet ». Mais, que voulez-vous, il se trouve que je suis aussi citoyen de Junas et parent d’élève. Et il me ferait mal à ma commune, à mes enfants, à mes élèves, qu’une poignée d’élus pressés (alors que j’en connais plusieurs qui le sont moins….) en viennent à casser un outil en le remplaçant par un autre risquant, dans cette urgence peu explicitée, d’être moins performant que l’existant, voire un outil contre-performant.
Christian CAM, directeur de l’école d’Aujargues, coordonateur du RPI, habitant de Junas
Depuis peu, les municipalités de Congénies, de Junas et d’Aujargues ont engagé un processus de réflexion sur le devenir du RPI. J’emploie le mot « devenir » car il ressort que notre RPI en l’état n’aurait plus d’avenir. Au sein des équipes municipales, des élus souhaitent un processus rapide, aboutissant à un changement dès septembre 2009. Pour ce faire, les mairies doivent se plier au calendrier de l’Education Nationale qui ne peut prononcer de modification du statut des écoles qu’en janvier pour la rentrée suivante. Statuer en janvier signifie donc, pour les municipalités, avoir délibéré en amont et choisi une voie alternative avant le 15 décembre 2008. Dans moins d’un mois.
Les enseignants du RPI, invités par les municipalités à une réunion mercredi 12 novembre, ont unanimement déclaré ne pas être favorables à cette solution, demandant solennellement à ce que l’éventuel changement n’intervienne que pour septembre 2010.
Quelques éléments qui plaident pour ce report de décision.
Constat n° 1 : on ne boucle pas en un mois, de manière sérieuse, un dossier concernant 3 villages, 280 familles, 354 élèves, 17 personnels techniques et 15 enseignants.
Constat n° 2 : j’ai suffisamment de relations avec des élus des trois municipalités pour savoir qu’à ce jour, aucun conseil municipal n’a débattu de ce dossier. Il n’a été inscrit à aucun ordre du jour. La première commune qui va organiser, ce lundi 24-11, une réunion d’élus sur ce thème précis, est Congénies. Pour ma part, de manières informelle ou formelle, j’ai reçu et dois recevoir encore des élus qui souhaitent être informés sur cette question. Peut-on concevoir que ces mêmes élus seraient amenés, dans les 20 jours qui suivent, à prendre une décision, alors qu’ils ne maîtriseront que bien superficiellement les problématiques complexes qui entourent ce RPI ?
Constat n° 3 : Les journaux municipaux de Junas et d’Aujargues viennent d’être distribués dans les boîtes aux lettres. Celui de Congénies est en cours d’impression. Pas un n’aborde ce dossier. Autrement dit, les populations de nos trois villages, les 280 familles d’usagers, ne sont pas même au courant que le débat existe, où l’on découvert au hasard de rencontres. Pas étonnant que circulent de nombreuses rumeurs, folles ou insolites. Est-ce à dire qu’usagers et populations ne seraient informés qu’une fois les décisions prises ?
Constat n° 4 : Bien évidemment, sans même une information, que dire de la concertation ! Nos élus « pressés » se satisferaient donc de trois réunions invitant séparément enseignants, personnels techniques et APE et d’un débat public fixé au 6 décembre pour solde de tout compte ? C’est quelque peu léger.
Constat n° 5 : Ces mêmes élus « pressés » n’ont pas dressé de bilan de ce RPI. S’ils l’ont fait, ils l’ont bien gardé. Seule les obsédants problèmes de transport et leur coût suffisent, semble t-il, à motiver le démontage de l’existant. Dont acte. Au-delà du fait que les enfants, à tous âges, plébiscitent le bus avec la fierté d’un cosmonaute partant, tous les matins, pour la Lune, s’est-on penché sur les avantages, pédagogiques cette fois, que retirent nos élèves de l’organisation actuelle ? Autrement dit, les préoccupations des adultes (coûts budgétaires ou organisation familiale en fonction des horaires de transport) n’auraient-elles pas tendance à prendre le dessus ?
Constat n°6 : Si aucun bilan n’existe, il n’y pas trace non plus d’une étude sur les perspectives. Certes, il y a des scénarii possibles, facilement déclinables. Au-delà de l’évocation de ceux-ci, où est « l’étude d’impact », comme on dirait ailleurs avant que tout projet émergeant ne soit réellement mis en chantier ? Là encore, il est utopiste de croire qu’en un mois, les multiples implications des divers scénarii possibles soient pesés et mesurés, pour l’ensemble des acteurs. Le montage définitif, dans de telles conditions, ne pourrait être que bâclé, par défaut.
Constat n° 7 : Bâclé, car non ambitieux, tout d’abord. Evidemment, dans tous les cas de figure, Congénies ferait désormais cavalier seul. Mais avec combien d’écoles ? Une école maternelle et une école élémentaire ou une école dite « primaire » (mêlant petits et grands) ? Dans la première hypothèse – défendue par les enseignants, si tant est qu’il soit encore à démontrer les menaces qui planent sur la maternelle en ce moment – il faudra se battre, tous. Dans la seconde, il suffit de suivre l’air du temps, au détriment des enfants, particulièrement les plus jeunes, et des conditions d’enseignement, notamment en termes d’encadrement. En fait, céder au plus facile, désavouant du même coup les parents qui se sont mobilisés en 2007 contre le « mélange forcé » des petits et des grands sur l’école de Junas… Qui peut sérieusement envisager construire le rapport de force nécessaire et la volonté politique (à construire aussi !) en… un mois ?
La question vaut aussi pour Junas et Aujargues. Gagnerions-nous d’emblée le fait qu’un des sites, en cas de nouveau RPI entre ces deux communes, soit une école maternelle déclarée (ce qui empêcherait, par exemple, qu’en cas de grosse cohorte de CP, certains d’entre eux puissent « rester » sur le site des maternelles). Rien n’est moins sûr. L’air du temps.
Constat n° 8: Bâclé, car précipité, ensuite. On semble évacuer bien légèrement les questions matérielles : aménagement des locaux et des sanitaires, déménagements de mobilier et de matériel pédagogique. Croit-on sérieusement que les enseignants, engagés dans la présente année scolaire avec les différents projets qu’ils ont envisagés, pourraient, dans le même temps préparer la nouvelle donne pour l’an prochain ? Les mairies, ou la CCPS, sont elles disposées à nous rémunérer sur un mois de vacances pour que nous fassions ces déménagements ? Boutade, bien évidemment, qui soulève quand même le fait qu’un remaniement, pour être bien mené, nécessite du temps.
C’est en rebondissant sur cette dernière phrase que j’entame la conclusion, sous forme d’interrogation : pourquoi cette précipitation ? Cette question fut posée lors de notre réunion avec les mairies, mais n’a pas reçu de réponse précise. Nous avons dit aussi qu’il n’est écrit nulle part que les enseignants sont hostiles à un remaniement. Mais, si le processus de réflexion s’engage, tout, du négatif au positif, doit être mis sur la table. Nous avons en outre la faiblesse de croire que les usagers doivent aussi connaître les tenants et les aboutissants, pour, in fine, décider en conscience de ce qu’ils croient judicieux de faire. En écrivant ces mots, j’ai bien conscience de marcher sur des plates bandes qui ne sont pas de mon ressort : fonctionnaire d’Etat, je suis « mis à disposition » pour accomplir un travail. Parler de politique micro-locale et, quelque part, de démocratie, c’est effectivement être « hors sujet ». Mais, que voulez-vous, il se trouve que je suis aussi citoyen de Junas et parent d’élève. Et il me ferait mal à ma commune, à mes enfants, à mes élèves, qu’une poignée d’élus pressés (alors que j’en connais plusieurs qui le sont moins….) en viennent à casser un outil en le remplaçant par un autre risquant, dans cette urgence peu explicitée, d’être moins performant que l’existant, voire un outil contre-performant.
breizhatao- Cigaloun timide
- Nombre de messages : 4
Date d'inscription : 18/01/2008
Re: Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
Merci Christian d'ouvrir le débat sur le forum.
Avant de contribuer modestement, n'étant pas aux affaires scolaires, je souhaiterai apporter une précision pour les internautes sur l'agenda tel qu'il a été communiqué aux élus le 29 octobre 2008 :
Je peux aussi te répondre sur ton constat n°3, étant en charge du journal et donc en position de contribuer de manière précise sur ce point. Le 29 octobre donc, le journal était en bouclage (re-lecture par tous les élus avant impression) et il était compliqué de retarder la parution à cause du 11 novembre, entre autre. Ce n'est pas une volonté délibérée de ne pas en parler, le sommaire étant en plus composé début octobre.
D'ailleurs, fin octobre, nous disposions d'aucun d'élément nouveau (outre l'agenda) par rapport à la problématique bien connue de tous puisque la commission des affaires scolaires, en charge du dossier, était au travail. Cela ne justifiait donc pas d'envisager un numéro spécial d'information, qui aurait pu sortir en ce moment.
Situation d'ailleurs inchangée puisque la commission est toujours au travail (entre autre sur les points 5 à 8 que tu évoques). Il est bien évident que les élus attendent les résultats de ces travaux pour pouvoir ce prononcer en toute connaissance. Aujourd'hui, si certaines solutions semblent meilleures, aucune décision n'est prise et, notre maire et la commission des affaires scolaires ont encore expliqué lors du dernier conseil municipal (vendredi 21/11) qu'il était possible de prendre une année de réflexion supplémentaire.
Mais même si l'on peut regretter un calendrier serré, (qui résulte de la volonté d'apporter une solution dès la rentrée 2009), et je le regrette, au regard du problème concret posé par les transports, il faudra que les arguments pour retarder la décision à la rentrée 2010 soit réels et pas uniquement des arguments de principe.
C'est en tout cas le moment de s'exprimer et de questionner vos élus.
Avant de contribuer modestement, n'étant pas aux affaires scolaires, je souhaiterai apporter une précision pour les internautes sur l'agenda tel qu'il a été communiqué aux élus le 29 octobre 2008 :
Date | Heure | Lieu | Public invité |
Mercredi 12 novembre | 8h30 | Congénies Mairie | Enseignants |
Mercredi 19 novembre | 14h | Sommières CCPS | Personnel non-enseignant |
Jeudi 20 novembre | 20h30 | Junas Mairie | Parents d’élèves |
Mercredi 26 novembre | 9h | Congénies Mairie | Commission RPI |
Samedi 6 décembre | 10h | Aujargues salle polyvalente | Réunion publique |
D'ailleurs, fin octobre, nous disposions d'aucun d'élément nouveau (outre l'agenda) par rapport à la problématique bien connue de tous puisque la commission des affaires scolaires, en charge du dossier, était au travail. Cela ne justifiait donc pas d'envisager un numéro spécial d'information, qui aurait pu sortir en ce moment.
Situation d'ailleurs inchangée puisque la commission est toujours au travail (entre autre sur les points 5 à 8 que tu évoques). Il est bien évident que les élus attendent les résultats de ces travaux pour pouvoir ce prononcer en toute connaissance. Aujourd'hui, si certaines solutions semblent meilleures, aucune décision n'est prise et, notre maire et la commission des affaires scolaires ont encore expliqué lors du dernier conseil municipal (vendredi 21/11) qu'il était possible de prendre une année de réflexion supplémentaire.
Mais même si l'on peut regretter un calendrier serré, (qui résulte de la volonté d'apporter une solution dès la rentrée 2009), et je le regrette, au regard du problème concret posé par les transports, il faudra que les arguments pour retarder la décision à la rentrée 2010 soit réels et pas uniquement des arguments de principe.
C'est en tout cas le moment de s'exprimer et de questionner vos élus.
Re: Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
Puisqu'un délai est possible jusqu'en février/mars 2009, le débat reste ouvert. Je vous invite à lire le Compte rendu de la réunion du 11 décembre 2008 qui s'est tenue le lendemain de la réunion publique.
Re: Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
Merci Fabrice de diffuser ce compte rendu car j'en avais pas connaissance.
Dernière édition par fabrice le Dim 14 Déc 2008, 15:43, édité 1 fois (Raison : Modération - raison en MP)
Mathieu- Cigale de l'ordre
- Nombre de messages : 255
Date d'inscription : 21/11/2007
Re: Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
A la fois pourquoi les instit ne pourraient-ils pas nous donner leur avis sur la nouvelle organisation ?
Mathieu- Cigale de l'ordre
- Nombre de messages : 255
Date d'inscription : 21/11/2007
Re: Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
Bon, alors, on en est où ? c quoi le résultat du sondage ?
mariec- Cigaou printanier
- Nombre de messages : 20
Date d'inscription : 04/02/2008
Re: Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
ça m'intéresse aussi
kiki- Cigale chantante
- Nombre de messages : 58
Date d'inscription : 11/01/2008
Re: Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
j'ai un pb pour coller le tableau des résultats du questionnaire RPI
je reviens vers vous
excusez moi
je reviens vers vous
excusez moi
Mathieu- Cigale de l'ordre
- Nombre de messages : 255
Date d'inscription : 21/11/2007
Re: Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
voici les résultats du questionnaire sur les écoles tels qu'ils nous ont été donnés
Cliquer sur l'image miniature pour l'agrandir
Rappel :
scénario 1 = aucun changement
scénario 2 = congenies à part et RPI Aujargues (classes élémentaires) Junas (Classes Maternelles)
scénario 3 = congenies à part avec 1 école maternelle et 1 école élémentaire distincte et RPI Aujargues (classes élémentaires) Junas (Classes Maternelles)
scénario 4 = éclatement total. Chaque commune prend son indépendance
Cliquer sur l'image miniature pour l'agrandir
Rappel :
scénario 1 = aucun changement
scénario 2 = congenies à part et RPI Aujargues (classes élémentaires) Junas (Classes Maternelles)
scénario 3 = congenies à part avec 1 école maternelle et 1 école élémentaire distincte et RPI Aujargues (classes élémentaires) Junas (Classes Maternelles)
scénario 4 = éclatement total. Chaque commune prend son indépendance
Mathieu- Cigale de l'ordre
- Nombre de messages : 255
Date d'inscription : 21/11/2007
Re: Quel avenir pour notre RPI Contribution au débat
je me suis juste permis de rajouter les % car c' plus "parlant".
En tout cas pour moi
En tout cas pour moi
Mathieu- Cigale de l'ordre
- Nombre de messages : 255
Date d'inscription : 21/11/2007
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